A chaque fois que je passe devant, je suis interpellé. Quelle masse, quelle structure de béton imposante.
Sa large bouche s’ouvre et embrasse l’horizon. Tout y passe, rien n’y échappe. Et pourtant, il est tellement facile d’imaginer ce que les hommes qui l’occupaient avaient en tête.
C’était pour la plupart cette maison, au loin, avec une famille, un autre jour qui se lève, une paix perdue ou espérée.