Je crois que c’est cyclique. Ça doit être lié à mon alimentation ou à mon état de fatigue ou à la météo ou encore un peu de tout ça.
Monter haut dans l’euphorie, dans l’entrain, puis se couper de tout, prendre des distances, comme un avion qui couperait les gaz pour redescendre en feuille morte.
C’est bon aussi de se laisser planer pour redescendre.
Le plus dur, c’est quand on arrive au bout de la ficelle. Le cycle s’arrête, on repart !